samedi 28 décembre 2019

2020










2019 s'achève avec tout son lot d'animations et de rencontres autour de la généalogie  et de l'histoire de notre Lorraine.



L'année 2020 s'annonce tout aussi prometteuse.






En attendant la concrétisation des projets en cours, le Cercle Généalogique du Pays de Jeanne vous présente tous ses voeux pour cette nouvelle année.

Que cette année soit une période riche en événements, rencontres et projets collectifs.





Sans compter naturellement de belles découvertes dans vos recherches personnelles !


Le C.G.P.J.

mardi 5 novembre 2019

une amitié singulière . . .

Louis BOULOUMIE





Si le nom de Louis Bouloumié est associé à la naissance  de la société des eaux Minérales de Vittel,







Louis BLANC





Si celui de Louis Blanc est associé à la révolution de 1848 et à la Commune de Paris, 














Rien ne permet de rapprocher l’histoire de ces deux personnes du XIX° siècle que tout semble séparer.


Pourtant…

Jeunesse :


Louis BLANC est né à Madrid en 1811. Il  était fils d'un haut fonctionnaire impérial pendant l'occupation de l'Espagne. Louis Blanc fait de brillantes études au collège de Rodez. Devenu chef de famille à 19 ans, il quitte le collège et se rend, avec son frère, à Paris. Son voyage à Paris coïncide avec la Révolution de Juillet de 1830.  Sur place, après des collaborations à plusieurs journaux, il gagnera sa notoriété politique au journal « la réforme » à travers la « campagne des Banquets ». Cela se terminera par des barricades dans toute la ville de Paris au soir du 22 février 1848. 

Chapelle du cllège Royal de Rodez


Louis BOULOUMIE est né à Rodez en 1812. Il était le fils d’un ingénieur. A la suite de ses études au collège Royal de Rodez, il se rend à Paris pour des études de droit. Il sera procureur du Roi à Bézier, avant de démissionner et reprendre ses activités d’avocat plus conformes à son engagement républicain.


« Les deux Louis » ont donc passé leurs années collège ensemble et en ont gardé une amitié marquée d’une même idéologie républicaine.  Ces liens ont perduré malgré des parcours et des engagements qui, pour différents qu’ils étaient, n’en ont pas moins conservé la trace de leur évolution commune sur les bancs du collège : le rêve d’une république humaine et bienveillante qui ne les a pas quittés.


1848. Revolution de février / II° république

Louis BOULOUMIE défend  37 personnes coupables de troubles politiques devant la cour d’assise de l’Aveyron. Il approuve l’avènement de la II° république qui fait suite à de la destitution du roi Louis Philippe. Il s’engage plus directement dans la vie politique locale et prend part à la révolution de 1848. Il crée le journal « L’Aveyron Républicain », il est élu au conseil municipal de Rodez. On le nomme  commandant de la garde républicaine.

révolte 1848

Louis BLANC travaille au journal « la Réforme » après des collaborations à divers journaux. Il gagnera sa notoriété politique avec la campagne des Banquets défendue dans ses colonnes. Cette campagne se terminera par des barricades dans toute la ville de Paris au soir du 22 février. Louis Blanc devient membre du Gouvernement provisoire de la II° République. 



1851 : coup d’état de Napoléon III


le coup d'état
En violation de la légitimité constitutionnelle de la 2° république, Louis-Napoléon Bonaparte, Président de la République française depuis trois ans, conserve le pouvoir à quelques mois de la fin de son mandat alors que la Constitution de la Deuxième République lui interdisait de se représenter.




La répression s’installe. Sans surprise, Louis Blanc et Louis Bouloumié sont condamnés à la déportation.



Motif de l’exil pour Louis blanc : Aux élections d’avril 1848, victoire des conservateurs. Louis Blanc, soupçonné d’avoir participé à des émeutes en juin 48 ; il doit fuir pour l’Angleterre. En avril 1849, la Haute Cour de justice de Bourges condamne par contumace Louis Blanc et cinq autres inculpés à la déportation. 
   







Motif de l’exil pour Louis Bouloumié : il a pris la défense de prisonniers politiques accusés d’insurrection. Il exprime son opposition au coup d’état et participe à la création d’une commission constitutionnelle qui proteste contre cette violation de la constitution de la II° république  avant d’être lui-même incarcéré à plusieurs reprises. Il sera définitivement condamné et expulsé du territoire français.





commission de jugement
Avis de la commission mixte sur Bouloumié : « Ancien substitut du procureur du Roi à Villefranche et à Rodez, possesseur d'une belle fortune. Homme intelligent, insinuant, parlant bien, faux et intrigant, le plus adroit des chefs du parti démagogique à Rodez, l'un des gérants du journal L'Aveyron républicain où se retrouvait l'esprit astucieux de cet inculpé. . . . . A fait partie de la commission dite constitutionnelle et a signé en cette qualité la protestation insurrectionnelle. »





L’exil


Louis Bouloumié doit partir en exil pour l’Algérie Compte tenu de son état de santé, le gouvernement accédera à sa demande de s’installer en Espagne. Il sera autorisé à rentrer en décembre 1852. Pour ce faire, il dut écrire une lettre d’allégeance au pouvoir afin d’obtenir cette grâce qui lui permettra de rentrer en France. 





Louis Blanc demeurera plus de 20 ans en Angleterre où il organisera une certaine opposition avec d’autres républicains. Il refusera l'amnistie accordée en 1859 par le gouvernement de Napoléon III qu'il ne reconnaît pas.




Après l’exil

Louis Bouloumié, de santé fragile, a fait de nombreuses cures à Contrexeville. Sur les conseils d’un docteur de la cure, le docteur Baud, Louis Bouloumié s’était mis à utiliser l’eau de Vittel pour se soigner. Soit il se rendait à Vittel, soit il faisait revenir à Contrexeville de l’eau de Vittel pour ses soins. Jusqu’au jour où son propriétaire, le père Rifflard, lassé des allées et venues des curistes dans son pré, a accepté de vendre cette source Gérémoy, participant ainsi à l’acte de fondation de la Société des Eaux de Vittel.





La Commune
Louis Blanc, quant à lui, ne rentrera en France qu’à la défaite de Napoléon III. Il se fera défenseur de la Commune face aux répressions du pouvoir en place. En 1871, il sera élu député sur les listes électorales de l’union républicaine  aux côtés de Clémenceau.









Voici donc deux hommes, issus de la  bourgeoisie provinciale du XIX° siècle. Une jeunesse commune et deux parcours différents teintés d’un idéal républicain partagé. Seuls les aléas de la vie ont fait la différence.







Le destin de Louis BOULOUMIE aurait-il été le même si la maladie ne l'avait pas conduit à Contrexeville puis à Vittel ? 

L’engagement de Louis BLANC aurait-il été différent s’il ne s’était pas trouvé en charge de famille très jeune à la mort de sa mère ?  


mercredi 16 octobre 2019

GRAVELOTTE et SCY-CHAZELLES



Sortie du Cercle Généalogique du Pays de Jeanne.

Le C.G.P.J. a organisé sa sortie annuelle début octobre.
Direction la Moselle.



Notre cercle a commencé à travailler pour le cent-cinquantième anniversaire de la fin de la guerre de 1870. A terme, nous devrions pouvoir proposer au public une exposition dont le contenu reste à peaufiner.





En attendant, pour se familiariser avec le sujet et en découvrir des aspects inattendus, nous avons décidé de visiter la musée de Gravelotte sur la guerre de 1870.


Au programme donc, musée Robert Schuman le matin, musée de Gravelotte l’après-midi.



10H00 : Accueil du groupe au musée de Scy-Chazelles pour une visite libre des locaux dans un premier temps qui a  permis aux membres du groupe de replonger dans la naissance de l’Europe au gré des actions et des textes de Schuman. Puis visite du jardin et de la chapelle qui a accueilli la dépouille de Schuman. Ensuite visite guidée de la maison attenante qui nous fait entrer dans ce qui fut son univers quotidien.



















notre restaurant



12H00 : Le repas est pris en commun à Gravelotte dans un restaurant à proximité du musée qui nous a servi un repas apprécié de tous.









14H00 : notre guide nous attendait à l’entrée du musée pour une visite qui nous a captivés. Tout d’abord une explication sur la présentation sans artifice et sans mannequin pour que l’attention du visiteur ne soit mobilisée que par objets sobrement présentés artifice. Ensuite un descriptif sur les différents uniformes, l’utilité et le sens des couleurs, des décorations et des structures. 

Viennent ensuite des explications sur les batailles et leurs représentation picturales  avant d’aborder le chapitre mosellan de l’annexion avec son quotidien et ses conséquences individuelles ou collectives. Bref, une bonne synthèse de cette période avant que chacun ne prenne un temps personnel pour approfondir un aspect du musée s’il le souhaitait.







La visite s’est achevée avec, pour tous, le sentiment d’une journée riche en découvertes, agrémentée de moments diversifiés et bien rythmés conformément au programme et aux objectifs de départ.







mardi 27 août 2019

RENTREE du CERCLE


La rentrée du Cercle Généalogique du Pays de Jeanne.





Faire des recherches généalogiques,
Faire des recherches sur les états civils des communes de l’Ouest Vosgien
Faire des recherches sur l’histoire locale,
Faire des recherches sur des anecdotes du passé,
C’est possible grâce au Cercle Généalogique du Pays de Jeanne.


Le C.G.P.J., ce sont des passionnés d’histoire locale et de généalogie qui se mettent au service de toute personne intéressée afin de l’aider dans ses recherches




Le C.G.P.J., c’est d’abord une association qui met à disposition de ses abonnés des outils, des bases de données et des logiciels qui facilitent la recherche, le classement et l’organisation des données collectées en vue de construire son propre arbre généalogique. Le principe de fonctionnement du cercle est basé sur l’entraide. Il ne s’agit pas de fournir à l’adhérent un arbre tout fait, mais de l’aider à faire lui-même son document. C’est la seule façon d’entrer dans l’histoire de sa famille et de découvrir les richesses et les anecdotes qui émaillent les générations de toute famille. Commencer n’est pas difficile : à partir des quelques renseignements que l’on obtient auprès des anciens de la famille, noms, lieux, dates, on peut jeter les bases  . . .  


Pour ce faire, le Cercle Généalogique du Pays de Jeanne offre des aides multiples :
1)    Familiarisation informatique pour travailler sur internet et rechercher  des sites spécialisés
2)    Familiarisation au travail de recherche sur les portails des archives départementales de l’hexagone.
3)    Gestion des actes et des informations recueillis par internet
4)     Familiarisation avec les logiciels de généalogie sur le marché
5)    Construction de fichiers et conversion de fichier utilisables quels que soient les logiciels utilisés.
6)    Explication et démonstrations des présentations de généalogies. Comment faire et comment s’y retrouver.
7)    Constructions d’arbres personnalisés. Sur papier et/ou sur ordinateur. Comment les éditer ? Comment les conserver ? comment les communiquer ?
Le C.G.P.J., c’est aussi une association qui travaille à la recherche de documents sur l’histoire locale en collaboration avec l’association GACVIE, avec les municipalités de Neufchâteau et de Liffol le Grand grâce à des groupes de bénévoles constitués en son sein. C’est dans ce cadre que deux expositions sur les poilus de 14/18 inscrits au monument aux morts de Neufchâteau, l’autre sur les poilus de 14/18 inscrits au monument aux morts de Liffol, ont été présentées au Trait d’Union et à la salle des fêtes de Liffol en novembre 2018 avec des travaux sur les actes civils, les fiches militaires et les arbres ascendants de chacun des soldats.
C’est dans le même esprit qu’un travail de recherches a débuté avec pour point d’orgue une exposition pour le bicentenaire de la fin de la guerre de 1870 prévue pour début 2021.
Le C.G.P.J., c’est également une association qui participe aux travaux de la FCGV, fédération départementale et de l’UCGL, fédération régionale.
Renseignements pratiques :
Pour cette rentrée, le Cercle Généalogique reprendra ses activités à Liffol le Grand et à Neufchâteau.





Pour l’antenne de Neufchâteau, les ateliers reprendront le 3° jeudi de septembre. Ils se dérouleront régulièrement le premier et le troisième jeudi de chaque mois à la MCL. La présence du cercle à la MCL pour ses portes ouvertes du samedi 7 septembre permettra de donner des informations sur nos activités.











Pour l’antenne de Liffol, les ateliers reprendront le premier mercredi de septembre. Ils se dérouleront régulièrement chaque mercredi à partir de 14H00 à l’école de Tilleuls.








Renseignements pratiques :
Pour joindre le C.G.P.J. :

vendredi 2 août 2019

NOTRE SORTIE

Le groupe chargé des recherches sur le cent cinquantenaire de 1870 a fait une pré-visite des sites de Gravelotte et de Scy-Chazelles dont nous avions parlés lors des derniers ateliers de généalogie pour notre sortie d'automne.





Nous avons rencontré les personnels de ces sites:

- le musée de Gravelotte




- la Maison Schuman.






- le restaurant Le Quinze




Au niveau du musée de Gravelotte sur la guerre de 1870, la visite se déroulerait de la façon suivante:

1) visite guidée au niveau de la collection permanente

2) visite libre de l'expo temporaire sur les espions de 1870 à 1914

3) projection d'un film en immersion d'un épisode de la guerre aux environs de Gravelotte ( en petits groupes )

4) accès libre sur l'ensemble du musée avec possibilité tablettes tactiles pour aide à la visite




Face au musée, La Halle du souvenir, le plus important monument dédié à la Guerre de 1870, est intégrée au circuit de visite. 












Dans l’exposition permanente, le visiteur découvre des collections militaires françaises et allemandes, mais aussi des collections photographiques et documentaires, des objets du quotidien et des œuvres d’art. 








Chronologique et thématique, le parcours muséographique propose également des supports multimédia.







Au niveau du musée de la maison de Robert Schuman , la visite se déroulerait de la façon suivante:


1) Visite guidée au niveau de l'exposition

2) Visite accompagnée de la maison de Robert Schuman, attenante au musée. ( avec possibilité tablettes tactiles pour commentaires ) 

3) Visite de la chapelle où repose R. Schuman face au musée.

4) Visite libre des jardins.



Dès la porte franchie, on ressent immédiatement l’atmosphère d’une maison habitée, imprégnée de la personnalité de cet homme illustre qui lança la Communauté européenne du charbon et de l'acier, premier pas du Marché commun et de notre Union Européenne. 





La visite se prolonge par la découverte du Musée qui présente une exposition permanente interactive sur la vie de Robert Schuman et les premières années de la construction européenne.






Face à la maison, nous découvrons la Chapelle fortifiée Saint-Quentin du XIIe, classée Monument Historique, où repose le Père de l'Europe.

Organisation de la journée en fonction des renseignements pris sur place:

le matin: Visite de la maison Schuman de 10H00 à 12H00

le midi: repas au Quinze à Gravelotte ( 5mn du musée )

L'après midi: Visite du Musée de 1870 de 14H00 à 18H00.


  

Les modalités:

1) Date envisagée et libre au niveau des deux sites:

jeudi 3 octobre

2) Covoiturage:

 à organiser lors des ateliers de septembre

3) Coût: Comme pour les dernières sorties, proposition de prise en charge entrées et guides sur les deux sites.


à discuter en prochain CA du cercle

samedi 29 juin 2019

les pièges du généalogiste

Travailler en généalogie exige méthode et prudence. On peut très rapidement faire fausse route!
Faut-il rappeler aux chercheurs  les erreurs possibles telles que les difficultés de lecture de mots ou de lettres, de chiffres et de noms de lieux?
Mais parfois les investigations sont un peu plus compliquées et les risques d'erreurs moins évidents au premier coup d'oeil.
C'est toute la difficulté que nous avons eue lors de nos recherches sur un individu répertorié dans des listes de soldats  de la guerre de 1870, décédé en captivité et originaire de Liffol le Grand.
A la mise en commun de nos résultats, nous nous sommes aperçus d'une anomalie dans le travail effectué sur la situation du soldat Hyppolite ABRAHAM et son ascendance généalogique. Dates et ascendances différaient selon les sources et des erreurs sont apparues sans que nous en connaissions les causes. Nous avons donc repris la lignée ABRAHAM dans son ensemble sur l'état civil de Liffol.
La famille Abraham est installée à Liffol le Grand depuis plusieurs siècles.
Le membre le plus ancien que nous retrouvions sur les registres de Liffol s'appelle Isaac. Il avait uni sa destinée à Marie Maer, le couple s'était installé au village ou Isaac exerçait le métier de tailleur de pierres. Nous en trouvons une trace écrite dans les archives paroissiales par son acte de décès en date du 9 janvier 1677.

Acte de décès d'Isaac Abraham

Isaac était né sous le règne de Henri IV, plus exactement en 1598, année de la promulgation de l'Edit de Nantes. Il décédera sous le celui de Louis XIV en 1667.

Henri IV






Edit de Nantes




















Depuis cette date, nous retrouvons régulièrement la trace de descendants d'Isaac et de Claire installés au village de Liffol et ce quasiment jusqu'à nos jours dans la limite de nos champs d'investigation.

Dans nos recherches sur les soldats de la guerre de 1870, nous retrouvons ce nom d'Abraham originaire de Liffol. Il s'agit d'un soldat prisonnier à Rastadt et décédé en captivité: Hyppolite ABRAHAM.
Sur les registres de Liffol, en date de mai 1872, l'officier d'état civil a reporté l'acte de transcription du décès d'Hyppolite Abraham émanant des services du Directeur Général du Ministère de la Guerre.

Cette transcription est fournie par la ville de Rastadt, elle fait état du décès du soldat Abraham en date du premier mars 1871. Le lieu de naissance est connu: " Lifole le Gant, département des Vosges" Mais pas de date de naissance, encore moins de noms pour ses père et mère qui sont dits " inconnus ".

Transcription décès Hyppolite Abraham

Deux enfants, l'un sous le nom d'Hyppolite Abraham, l'autre sous le nom de Nicolas Hyppolite Abraham sont nés à Liffol le Grand pour les périodes de 1833/1843 et 1843/1853. Classe 64 pour l'un, classe 66 pour l'autre.



C'est là que les différents généalogistes qui ont travaillé sur cette famille donnent des résultats différents que ce soit sur FILAE, sur généanet ou sur des arbres mis en ligne, sans compter diverses  données sur 1870.


Qui a raison? Deux cas, une solution.


Cas N°1: le 10 février 1844 naissait Hyppolite Abraham, fils de François Aimé, couvreur, âgé de trente ans, et de Marie Rose Collombier, âgée de 28 ans, domiciliés à Liffol le Grand.

Acte de naissance:

Acte de naissance Cas N°1


Acte de décès:

Acte décès cas N°1

Cas N°2: le 27 février 1846 naissait Nicolas Hyppolite Abraham, fils de Joseph Aimé, maçon, âgé de 31 ans et de Catherine Rose Buron, âgée de 20 ans, domiciliés à Liffol le Grand.

Acte de naissance:

Acte de naissance cas N°2

Les erreurs sur le cas N°1:  
Confusions sur la date du décès: 1844/1871. 
Problème résolu, il s'agit du 11 février 1844

Les erreurs sur le cas N°2: 
Confusions sur la date de naissance: 1844/1846/1848.
Problème résolu, il s'agit du 27 février 1846.
Confusions sur le prénom: Hyppolite au lieu de Nicolas Hyppolite
Problème résolu: pas d'autres naissances d'un enfant nommé Hyppolite sur la période 1833/1853 à Liffol le Grand



En conclusion, le soldat de la guerre de 1870, Hyppolite ABRAHAM, de la 58° Légion de Marche, prisonnier  décédé à Rastadt le 1° mars 1871, est né à Liffol le Grand en 1846. Il est fils de Joseph Aimé ABRAHAM et de Catherine Rose Buron. Il est le petit cousin de Hyppolite Abraham, fils de François Aimé Abraham et de Marie Rose Collombier. Ces 2 "Hyppolite" ont pour ancêtre commun Pierre Abraham, né en 1741, leur arrière grand père.


Arbre d'ascendance de Nicolas Hyppolite ABRAHAM:




Les erreurs qui ont posé problème:




Synthèse de travaux de recherche effectués par:
- Michel Chobriat
- Jean Claude Génin
- Jacques Voirin










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